See you in 1449, the huts of Breuil welcome you - Dordogne - New Aquitaine - France - Europe
Selon le site Internet qui leur est consacré (cf. Liens externes), « Au Moyen Âge, les cabanes du Breuil étaient habitées par les Bénédictins de Sarlat ». La preuve en serait un acte de vente de « 1449, date de la plus vieille trace écrite affirmant leur existence ». Cependant ce document n'a jamais été publié et ses coordonnées comme sa teneur sont tenues sous le boisseau. De plus, Calpalmas n'est pas Le Breuil. Dans son livre, Les cabanes en pierre sèche du Périgord, paru en 2002 (cf. Bibliographie), François Poujardieu écrit que « Le Breuil était un des domaines des Bénédictins du Chapitre de l'Évêché de Sarlat, mais il est écrit nulle part qu'existaient les cabanes que nous voyons aujourd'hui ». Il ajoute : « La propriétaire affirmait, il y a vingt ans, que les cabanes auraient été construites ou entièrement remaniées par son grand-père, au début du xxe siècle ».
Toujours selon le site Internet, des artisans ruraux (un forgeron, un bourrelier et un tisserand) auraient loué certaines des cabanes pour y exercer leur activité mais aucun élément textuel n'est apporté qui corroborerait la chose. Dans la cabane qui aurait servi au forgeron, trône un gros soufflet devant un renfoncement de maçonnerie servant d'âtre. Une carte postale des années 1970 montre cette même cabane servant de bergerie : une dizaine de brebis en sort, sous la houlette des agriculteurs de l'époque.
Les cabanes ont fait l'objet, à diverses reprises (au tournant des années 1970 puis à celui des années 1990), d'importantes restaurations. Certaines modifications ont été apportées aux faîtages : les toitures indépendantes des cabanes du groupe 2 (cf, infra, Disposition des bâtiments) ont été reliées entre elles sur deux tiers de leur hauteur pour faire pendant à la ligne de faîtage ondulée du groupe 1 (cf, infra, Disposition des bâtiments); de même, le faîtage de la cabane contre le pignon du fournil, est passé d'une ligne en courbe et contrecourbe à une ligne horizontale bien droite, comme celle du faîtage du fourni.
C'est à la suite de la proposition d'un visiteur, frappé par la beauté et l'originalité de l'ensemble des cabanes, que celles-ci ont fait l'objet d'une mesure de protection. D'abord protégées au titre des sites à partir de 1968, elles devaient être classées monuments historiques le 10 mai 1995 (ainsi que les façades et toitures en lauses de la maison d'habitation et de son fournil), la grange étant pour sa part déjà inscrite depuis 1991.
Outre les cartes postales, le cinéma et la télévision ont popularisé les lieux : ils auraient en effet servi de décor (avant 1990) aux films La Belle au bois dormant, Jacquou le Croquant (de Stellio Lorenzi), D'Artagnan et Les Misérables (de Robert Hossein).
Source Wikipedia
Depuis 1977, Marie et Claude, mes parents sont devenus « les bras forts » de ce petit coin de pierres. Ils en ont assuré la continuité intergénérationnelle.
Depuis les années 90, à mon tour, je me suis lancé dans cette aventure et ma passion pour ce lieu m’a poussé à relever de nouveaux défis afin de conserver ce patrimoine. (Recherches de technique de constructions en pierres sèche : encorbellements et voûtes).
Aujourd’hui, avec Carine, mon épouse et nos enfants Samuel et Mathias, nous multiplions nos efforts pour l’entretien et la rénovation de cabanes. Restaurations progressives de murs, Atelier de construction (2002), Exposition hommage à mes grands-parents (2014), Espace « Ailleurs dans le monde » (2019) … et bien d’autres choses !
En plus de cela, nous avons à cœur de continuer à travailler nos terres en mettant en œuvres la culture naturelle !
Source Site les Cabanes du Breuil
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According to the website devoted to them (cf. External links), “In the Middle Ages, the Breuil huts were inhabited by the Benedictines of Sarlat”. The proof would be a deed of sale of "1449, date of the oldest written record affirming their existence". However, this document was never published and its coordinates as its content are kept under wraps. Moreover, Calpalmas is not Le Breuil. In his book, The dry stone huts of Périgord, published in 2002 (cf. Bibliography), François Poujardieu writes that "Le Breuil was one of the domains of the Benedictines of the Chapter of the Bishopric of Sarlat, but it is written nowhere that existed the huts that we see today”. He adds: "The owner claimed twenty years ago that the cabins were built or completely remodeled by her grandfather at the beginning of the 20th century."
Still according to the website, rural craftsmen (a blacksmith, a saddler and a weaver) would have rented some of the huts to exercise their activity there but no textual element is provided which would corroborate the thing. In the hut that would have been used by the blacksmith, there is a large bellows in front of a masonry recess serving as a hearth. A postcard from the 1970s shows this same hut serving as a sheepfold: a dozen sheep come out of it, under the leadership of the farmers of the time.
The cabins have been extensively restored on various occasions (at the turn of the 1970s and then at the turn of the 1990s). Some modifications have been made to the ridges: the independent roofs of the huts in group 2 (see below, Layout of the buildings) have been connected to each other over two thirds of their height to match the undulating ridge line of group 1 (see , infra, Layout of buildings); similarly, the ridge of the cabin against the gable of the bakery has changed from a curved and counter-curved line to a very straight horizontal line, like that of the ridge of the bakery.
It was following the proposal of a visitor, struck by the beauty and originality of all the huts, that they were the subject of a protective measure. First protected as sites from 1968, they were to be classified as historic monuments on May 10, 1995 (as well as the facades and slate roofs of the dwelling house and its bakery), the barn being for its part already registered since 1991.
In addition to postcards, cinema and television have popularized the place: they would indeed have served as a setting (before 1990) for the films Sleeping Beauty, Jacquou le Croquant (by Stellio Lorenzi), D'Artagnan and Les Misérables ( by Robert Hossein).
SourceWikipedia
Since 1977, Marie and Claude, my parents, have become "the strong arms" of this little corner of stones. They ensured its intergenerational continuity.
Since the 90s, I in turn embarked on this adventure and my passion for this place pushed me to take up new challenges in order to preserve this heritage. (Research on dry stone construction techniques: corbels and vaults).
Today, with Carine, my wife and our children Samuel and Mathias, we are increasing our efforts for the maintenance and renovation of cabins. Progressive restorations of walls, Construction workshop (2002), Exhibition tribute to my grandparents (2014), Espace “Ailleurs dans le monde” (2019) … and many other things!
In addition to this, we are committed to continuing to work our land by implementing natural cultivation!
Source Site les cabanes du Breuil
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